L’addiction à la nourriture se caractérise par une consommation excessive et incontrôlée d’aliments, souvent en réponse à des émotions négatives ou encore à un stress élevé.

Cela va au-delà de la simple envie de manger. Il s’agit d’un besoin irrépressible de compenser une détresse émotionnelle ou de rechercher un apaisement, qui se traduit par un rapport déséquilibré à l’alimentation. Bien que la surconsommation alimentaire soit perçue par certains comme un simple trouble du comportement, elle cache fréquemment des troubles émotionnels profonds, dont la dépression.

Je suis Sandra Tuault, praticienne en sophro-analyse et en EMDR à Piré-sur-Seiche, non loin de Vitré, Noyal-sur-Vilaine, Châteaugiron, etc. Je vous accompagne vers votre mieux être séance après séance, grâce à l’EMDR et la sophro-analyse, ainsi que la médiation animale avec mon partenaire, mon chien Spirit.

L’addiction alimentaire comme moyen de fuir la souffrance

De nombreuses personnes qui souffrent d’addiction à la nourriture cherchent à échapper à des émotions difficiles comme la tristesse, la solitude, la colère ou le vide intérieur. Les aliments, en particulier ceux qui sont riches en sucres et en graisses, activent rapidement les circuits de récompense du cerveau, en libérant de la dopamine et de la sérotonine, des neurotransmetteurs liés au plaisir et au bien-être.

C’est cette sensation d’apaisement temporaire qui pousse de nombreuses personnes à chercher du réconfort dans la nourriture, surtout lorsque d’autres sources de réconfort sont perçues comme inaccessibles ou insuffisantes. C’est un peu comme l’alcool ou la drogue, ou toute autre addiction.

L’addiction alimentaire devient alors un mécanisme d’automédication qui cherche à apaiser la souffrance psychologique et à remplir un vide émotionnel. Cette stratégie, bien que temporairement efficace, ne fait que masquer les symptômes de la dépression et nourrit le cercle vicieux de la dépendance. Naturellement, vous prendrez du poids, naturellement, vous aimerez de moins en moins votre reflet dans le miroir… De ce fait, le problème s’accentuera. S’en suivra culpabilité et tristesse…

Un cercle vicieux

Comme dit précédemment, la nourriture devient une source de réconfort. C’est souvent dans ces moments que les individus se tournent vers la nourriture comme un moyen de faire face à la tristesse, à la fatigue émotionnelle, ou même à des événements de vie traumatisants.

Les personnes en dépression sont souvent prises dans un tourbillon d’auto-sabotage : elles cherchent à se réconforter dans la nourriture, mais se sentent ensuite coupables ou honteuses de leur comportement, ce qui renforce les sentiments de dévalorisation et d’impotence. Cela peut engendrer un sentiment de culpabilité après avoir mangé de manière excessive, ce qui alimente davantage la dépression et la dépendance à la nourriture.

Les racines profondes de la compulsion alimentaire : traumatismes et blessures non résolus

Les compulsions alimentaires peuvent également être liées à des événements de vie traumatiques, des blessures émotionnelles non guéries ou des périodes de stress prolongé. Les personnes qui ont vécu des traumatismes (enfance difficile, maltraitance, abandon, perte d’un proche) ou qui ont développé des croyances limitantes sur elles-mêmes (sentiment de ne pas être dignes d’amour ou d’attention) peuvent être plus susceptibles de recourir à la nourriture comme mécanisme de défense.

Ces blessures émotionnelles souvent non résolues jouent un rôle clé dans la naissance de comportements compulsifs, où la nourriture devient une forme de substitution affective. L’addiction à la nourriture sert alors à combler un manque émotionnel profond, mais elle n’élimine pas les causes sous-jacentes de la souffrance.

C’est pourquoi, Il est essentiel de traiter l’addiction alimentaire dans une perspective globale, en prenant en compte non seulement le comportement alimentaire mais aussi les causes profondes de cette addiction. Plusieurs approches peuvent être efficaces pour traiter cette problématique. Et ce sera chose faite avec des séances d’EMDR et/ou de sophro-analyse.

En effet, des approches comme l’EMDR et la sophro-analyse offrent des solutions efficaces et bienveillantes pour sortir de ce cercle vicieux, en permettant de traiter les traumatismes et de retrouver une relation équilibrée avec la nourriture et avec soi-même. Vous êtes situé à Vitré, Noyal-sur-Vilaine, Châteaubourg, Retiers et toute ville aux alentours de Piré-sur-Seiche ? Vous êtes en proie à l’addiction ? Prenez rendez-vous en ligne dès maintenant ! Il y a des solutions !